Quand on bosse dans le médico-social, ce qu’on veut, c’est du concret. Pas un énième outil conçu par des gens qui n’ont jamais mis les pieds dans un établissement, mais un vrai partenaire, un logiciel qui comprend nos réalités, nos contraintes, notre rythme. Et c’est exactement ce qu’on ressent en utilisant Airmes.
Je ne vais pas tourner autour du pot : ce logiciel m’a bluffée. Pas parce qu’il fait tout, mais parce qu’il fait bien ce qu’il promet. Il a été pensé pour ceux qui accompagnent au quotidien des personnes en situation de handicap. Et franchement, on sent que c’est du vécu, pas du marketing. Si vous cherchez une solution pour centraliser, structurer et fluidifier votre accompagnement, restez là : je vous partage ce qu’Airmes change au quotidien.
Airmes, c’est quoi au juste ?
Airmes, c’est un logiciel français conçu pour le suivi médico-social, avec une spécialité très claire : l’évaluation et l’accompagnement des personnes en situation de handicap. Il est né du terrain, nourri par des retours de professionnels, enrichi de contributions scientifiques, et peaufiné pour s’adapter à vos contraintes métier, pas l’inverse.
Disponible sur ordi, tablette ou mobile, Airmes suit partout : au bureau, en déplacement, en visite, sans prise de tête. Et niveau sécurité, c’est du costaud. On parle de données sensibles ici, et l’outil a été pensé dès le départ pour les protéger.
Ce qu’Airmes vous offre (et pourquoi ça compte)
Ce n’est pas juste un logiciel. C’est un allié. Et voici pourquoi.
Tout est centralisé. Et ça change tout.
Plus besoin de courir entre les classeurs, les mails et les fichiers Excel. Avec Airmes, tout est au même endroit, que ce soit les bilans, les observations, les projets personnalisés ou les transmissions. Et ce “détail” a une énorme conséquence : on perd moins de temps et on oublie moins de choses. Et donc ? On est plus présent pour les personnes qu’on accompagne. C’est aussi simple que ça.
L’automatisation intelligente
C’est peut-être la fonctionnalité la plus sous-estimée, mais aussi la plus salvatrice : Airmes automatise ce qui peut l’être sans déshumaniser. Plannings, rappels, synchronisation entre équipes, documents administratifs… tout est pensé pour éviter les redites et les oublis. Et quand on a dix mille choses à penser dans une journée, c’est un soulagement.
Une interface claire, même pour ceux qui “n’aiment pas l’informatique”
Je vais être honnête : je déteste les logiciels complexes. Ceux qui nous font regretter le bon vieux cahier. Mais Airmes ne joue pas dans cette cour. L’interface est intuitive, sobre, bien pensée. Même les collègues les moins connectés ont pris le pli en une demi-journée. Et ça, c’est rare.
Ce qu’on fait vraiment avec Airmes (et qu’on ne faisait pas avant)
Voici quelques exemples concrets de ce qu’on gère aujourd’hui dans notre structure grâce à Airmes, de manière fluide et enfin coordonnée :
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Un cahier de transmissions numérique, mis à jour en temps réel
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Des projets personnalisés conformes aux référentiels (dont le fameux GEVA)
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Une planification claire des activités et des rendez-vous médicaux
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Un accès rapide aux dossiers, même lors de remplacements ou d’urgences
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Un suivi rigoureux, mais sans surcharge administrative
Une seule liste, mais des usages qui changent le quotidien.
Et concrètement, à quoi ressemble le quotidien avec Airmes ?
Je vais vous donner un exemple vécu. Vendredi matin, un changement de planning urgent pour une éducatrice absente. Avant ? On se téléphonait dans tous les sens, on griffonnait sur des feuilles, on oubliait d’en prévenir l’infirmière. Résultat : cafouillage.
Maintenant ? Je me connecte à Airmes, je modifie en deux clics l’intervention prévue, et tout le monde est notifié automatiquement. L’infirmière a vu l’info avant que j’aie le temps de l’appeler. L’info est aussi visible pour l’équipe du week-end. Et on passe à autre chose.
Ce tableau qui résume bien ce que change Airmes dans une structure
| Avant Airmes | Avec Airmes |
|---|---|
| Dossiers papiers éparpillés | Dossiers numériques centralisés et accessibles |
| Plannings faits à la main et peu lisibles | Planning interactif, partagé, modifiable en un clic |
| Transmissions parfois oubliées ou floues | Cahier numérique, mis à jour en direct et horodaté |
| Projets personnalisés complexes à rédiger | Assistant intégré, conforme au cadre réglementaire |
| Risques d’erreurs ou de doublons | Alertes, vérifications et automatisations intégrées |
Côté utilisateurs : tout le monde s’y retrouve ?
Oui, clairement. Les éducateurs apprécient la fluidité du suivi. Les psychologues adorent l’organisation des observations. Et les directeurs ? Ils ont enfin une vue d’ensemble claire, avec des indicateurs fiables. Le logiciel ne fait pas tout à leur place, mais il leur donne de la visibilité, et ça change la prise de décision.
Même les remplaçants, en CDD ou en intérim, s’intègrent plus vite : l’outil leur permet de comprendre en quelques minutes où en est chaque situation.
Un point sur la conformité : Airmes coche toutes les cases
RGPD, sécurité des données, respect des référentiels (GEVA notamment) : tout y est. Ce n’est pas un bonus, c’est une nécessité dans le médico-social. Et Airmes le prend au sérieux. On peut dormir tranquille, même en cas de contrôle.
Et le support client, on en parle ?
Un logiciel, même bien pensé, ne vaut rien sans un bon service client. Et là, Airmes assure vraiment. Quand on a eu un souci de paramétrage, on a eu une réponse dans la journée, claire, utile, pas juste une FAQ. Et quand une nouvelle collègue a eu besoin d’un accompagnement, ils ont proposé une visio personnalisée. Pas besoin de se battre, ils sont là, humains, réactifs.
Alors, tout est parfait ? Pas tout à fait
Soyons lucides : Airmes n’est pas exempt de petites limites. Certaines fonctions sont encore en développement, notamment des exports plus poussés ou des passerelles avec d’autres outils. Mais l’équipe est à l’écoute, les mises à jour sont régulières, et on sent qu’ils avancent avec nous.
Côté tarif : à réfléchir selon la taille de la structure
Oui, Airmes a un coût. Et pour les très petites structures, cela peut sembler élevé. Mais quand on mesure le temps gagné, la fiabilité, la sécurité, ça devient vite rentable. Ce n’est pas une dépense, c’est un investissement. Et honnêtement, pour une structure de taille moyenne ou grande, le retour sur investissement est très clair.
Mon avis personnel, après un an d’utilisation
Je ne reviendrai en arrière pour rien au monde. Avant Airmes, on passait un temps fou à “gérer” au lieu d’accompagner. Maintenant, on a l’impression d’avoir une structure qui respire mieux. Les équipes sont moins stressées, les infos circulent, et les usagers sentent qu’on est plus disponible.
J’ai même vu des collègues qui étaient sceptiques au départ… vanter aujourd’hui les vertus d’un outil “qui ne bugue jamais et qui sait ce qu’on fait”. Quand on arrive à ce stade-là, c’est que l’outil est vraiment bon.
Alors, Airmes : pour qui ? pour quoi ?
Si vous êtes une structure médico-sociale qui accompagne des personnes en situation de handicap, que vous avez une équipe pluridisciplinaire, et que vous perdez trop de temps en coordination manuelle, Airmes est clairement à envisager.
Ce n’est pas juste un logiciel, c’est une nouvelle façon de travailler, plus fluide, plus sécurisée, plus cohérente. Et en plus, française. Ce qui ne gâche rien.
Toutes les questions sur Airmes
Airmes est-il vraiment adapté aux petites structures médico-sociales ?
C’est une vraie question, et honnêtement, tout dépend de votre fonctionnement quotidien. Si vous êtes une petite structure, avec une équipe réduite mais déjà confrontée à la multiplication des suivis, des transmissions, des projets personnalisés… alors Airmes devient rapidement un allié. Le coût peut sembler élevé au départ, mais il faut penser en gain de temps, en fiabilité, en qualité d’accompagnement. Chez nous, on a vite vu que l’outil remplaçait une montagne de tableaux Excel, de post-its et de fichiers dispersés. Et rien que ça, ça justifie l’investissement. Maintenant, si vous avez peu de besoins de coordination ou une organisation encore très papier, ce n’est peut-être pas le moment. Mais dès que vous sentez que la charge mentale monte, que les infos se perdent, Airmes devient une évidence. Il structure sans alourdir. Et même pour une petite équipe, ça fait une grosse différence.
Est-ce que l’interface est vraiment simple, même pour les “pas à l’aise avec l’informatique” ?
Je vais être franche : j’étais sceptique. On a tous des collègues qui s’arrachent les cheveux dès qu’il faut double-cliquer. Mais avec Airmes, j’ai vu ces mêmes personnes devenir autonomes en moins d’une journée. Pourquoi ? Parce que l’interface est claire, aérée, sans jargon technique. Les menus sont logiques, les boutons visibles, et surtout, on ne se perd pas dans dix mille fonctionnalités planquées. On clique, on écrit, on enregistre. Point. Et si on se trompe ? Pas de panique : il y a toujours un moyen de revenir en arrière ou d’éditer. Honnêtement, je n’ai jamais vu un logiciel pro aussi bien pensé pour le terrain. Ce n’est pas juste “intuitif”, c’est construit autour de notre logique métier. Pas besoin d’être un geek pour s’y retrouver. Et ça, pour moi, c’est un énorme soulagement. On se concentre sur les usagers, pas sur la technique.
Le cahier de transmissions est-il fiable au quotidien ?
Absolument. Et je dirais même que c’est devenu notre colonne vertébrale. Avant Airmes, les transmissions étaient souvent floues, mal datées, parfois oubliées. Maintenant, tout est consigné en temps réel, avec une vraie traçabilité. Chaque observation, chaque incident, chaque info utile est enregistrée, datée, signée. Et surtout : visible par tous ceux qui doivent l’avoir. Ce n’est pas juste un fichier qu’on oublie d’ouvrir. C’est un outil vivant, mis à jour au fil de la journée. Et ça change la communication interne. On évite les doublons, les malentendus, les “ah bon, on ne m’avait pas dit”. Même lors d’un remplacement ou d’une intervention ponctuelle, le professionnel qui arrive sait où en est la personne, ce qui a été fait, ce qu’il reste à faire. Franchement, je ne sais pas comment on a fait sans ça avant. C’est un gain de clarté, de sécurité, et surtout, de fluidité.
Peut-on personnaliser les projets d’accompagnement selon les besoins réels ?
Oui, et c’est même le grand point fort d’Airmes. Le logiciel ne vous impose pas un modèle figé. Il vous guide, il vous structure, mais il vous laisse respirer. Les projets personnalisés sont construits à partir des données collectées, mais vous pouvez les adapter à chaque usager. Que ce soit un enfant avec TSA, un adulte polyhandicapé ou une personne en situation de transition, vous composez un accompagnement qui a du sens. Et surtout : tout est conforme aux cadres réglementaires, y compris le GEVA. Vous n’avez pas à craindre les contrôles ou les relectures de l’ARS. Chaque fiche est claire, argumentée, complète. Et en plus, vous pouvez la générer en PDF en quelques secondes. Pour nous, ça a été une vraie libération. Finis les projets à rallonge en Word, avec des copier-coller douteux. L’outil vous aide à réfléchir, pas juste à remplir des cases. Et ça fait toute la différence.
Le support technique est-il vraiment à la hauteur ?
Je vais le dire simplement : oui, et c’est rare. On a tous connu ces hotlines qui répondent dans trois jours avec un copier-coller générique. Là, c’est tout l’inverse. L’équipe Airmes est réactive, claire, et surtout humaine. Quand on a eu un bug sur une impression de rapport, j’ai appelé à 10h… on m’a rappelée à 11h avec une solution. Pas un ticket, pas un chat automatisé. Un humain. Et ça, quand on gère du médico-social, c’est précieux. Ils comprennent nos urgences, nos contraintes, notre vocabulaire. On n’a pas besoin d’expliquer 10 fois ce qu’est une transmission ou une GEVA. Et en bonus, ils proposent des mini-formations, des webinaires, et même des visios personnalisées quand c’est nécessaire. Franchement, ce niveau de support, on ne le retrouve pas souvent ailleurs. Et ça donne une vraie confiance dans le logiciel, parce qu’on sait qu’on n’est jamais seul.
Est-ce que ça vaut vraiment le coup sur le long terme ?
Je me posais exactement la même question au début. On investit, on forme l’équipe, on change les habitudes… et on se demande : est-ce que ça en vaudra la peine dans un an ? Aujourd’hui, je peux répondre sans hésiter : oui, largement. Airmes, ce n’est pas juste un logiciel qu’on utilise. C’est un système qui structure notre manière de travailler. Il nous a permis de gagner du temps, de sécuriser les infos, d’améliorer la qualité de nos suivis. Et surtout : ça se ressent côté usagers. On est plus disponibles, plus cohérents, plus réactifs. Et ça, c’est ce qui compte vraiment. Alors oui, il y a eu une phase d’adaptation. Mais elle a été rapide. Et les bénéfices sont là, mois après mois. On ne parle plus de “passer à Airmes”, on parle de “travailler avec Airmes”. C’est devenu une évidence. Et pour moi, c’est le meilleur indicateur de réussite.
