Se former à l’électricité avec La Taloche, spécialiste des métiers du bâtiment

Se former à l’électricité avec La Taloche, spécialiste des métiers du bâtiment

L’électricité dans le bâtiment, avenir ou simple évidence ?

 

Parfois, une simple balade dans la rue suffit à faire tilt. Les grues dressées contre les immeubles, les nacelles brinquebalant des hommes casqués, ces chantiers qui apparaissent ou disparaissent du jour au lendemain… Tout ce remue ménage donne l’impression d’habiter au cœur d’une ruche géante, non ? 2026 approche à grands pas, société sous tension, et alors ? Partout, les mots « éco », « rénovation », « énergies propres » fusent. Chaque bâtiment, ancien ou flambant neuf, réclame son compteur, son cerveau, sa lumière, sans oublier cette chaleur rassurante qui se déclenche d’une pression de doigt.

Et dans cette foire aux innovations, savez vous qui manque à l’appel ? Des électriciens. Des centaines, des milliers. L’impression parfois que toutes les entreprises du secteur se passent le mot : il n’y en a jamais assez. Vous avez remarqué ce paradoxe délicieux ? L’époque semble nous balader entre crises et incertitudes, sauf que dans le monde de l’électricité, c’est la fête. La file d’attente s’allonge devant les bureaux de recrutement.

 

Quels horizons après une formation électricité ?

Et si tout commençait par là ? Cette formation électricité, ce viatique un peu magique qui ouvre les portes, parfois plus vite qu’on ne le pense. L’électricien installe, répare, invente. Son voisin, technicien courant faible, opère discrètement mais avec génie partout où la technologie tire les ficelles. Certains prennent le lead sur des équipes, affrontent les chantiers tempétueux, d’autres aiment les sphères calmes des bureaux d’études. Ceux qui lorgnent du côté du commerce, du pilotage des gros marchés glissent doucement vers la fonction de chargé d’affaires, ils voient tout, négocient, justifient, rassurent les clients, sport cérébral assuré. Que reste t’il aujourd’hui ? TPE, PME, géants multinationaux : tous affichent le même sourire impatient. Joli paradoxe dans un univers en crise permanente, sauf ici.

 

Quels diplômes pour rêver l’électricité ?

Il y a ceux qui veulent foncer tête baissée, ceux qui aiment prendre le temps ou organiser chaque étape : qu’importe la voie, le secteur sait s’adapter. CAP, Bac Pro, BTS, les sigles s’accumulent et prennent vie. Pas besoin de décrocher la lune pour espérer sa place. Chacun sa personnalité, son histoire, ses envies : 

  • CAP Électricien : la boussole, deux ans pour toucher les câbles, l’odeur du chantier et la satisfaction du travail fait main ;
  • Bac Pro Métier de l’électricité : trois ans pour goûter à la variété, s’essayer à tout, du résidentiel aux sites d’envergure ;
  • BTS Électrotechnique : la dimension stratégique, leadership, vision de projet, pilotage d’équipe, prise de risque, tout y passe, ou presque.

 

Pourquoi cette pénurie de main d’œuvre ?

Imaginez la scène : chantier terminé, commandes qui continuent d’affluer, carnet de rendez-vous qui ne désemplit pas. Il manque toujours quelqu’un. La rénovation énergétique a rallumé la flamme. Les salaires suivent, la demande dépasse l’offre, la concurrence se fait douce ou féroce selon les jours. Certains osent demander davantage : la prime, les tickets restau, les horaires plus flexibles… Et le plus drôle ? Le public se renouvelle. Jeunes diplômés, adultes lassés de leur carrière précédente, tous débarquent avec leur lot d’aspirations, leurs petites folies, leur soif de technique et de liberté.

 

Quel quotidien et quels salaires pour l’électricien ?

Métamorphoses, embuscades et rebondissements au menu. Il y a celui qui démarre à 1700 euros et double presque la mise en quelques années. Celui qui s’éprend de domotique, se passionne pour la sécurité incendie ou jongle demain avec l’intelligence artificielle des bâtiments. L’électricien ne tient pas en place, il évolue, il s’enhardit. Les métiers s’imbriquent, la sécurité flirte avec la technique, les surprises s’accumulent, la stabilité aussi. Difficile de s’ennuyer, même en cherchant bien.

Niveau Accès Durée Débouchés
CAP Après la 3ème 2 ans Ouvrier qualifié, installateur
Bac Pro Après la 2nde ou CAP 3 ans Chef d’équipe, technicien
BTS Après Bac général ou pro 2 ans Chef de chantier, chargé d’affaires

 

Qu’apprend on vraiment à La Taloche ?

Aucun angle mort. Manque t’il encore une compétence ? Plan de câblage, branchements furtifs, lecture de plans dans la pénombre d’un local technique… Mention spéciale pour ces modules qui sentent la modernité : domotique, NF C 15-100 (la fameuse), ou maintenance des installations complexes. Les groupes se croisent entre néophytes et « vieilles mains », et chacun repart avec une vraie carte de compétences. Envie de développer l’autonomie ? C’est dans la boîte, la valise même, prête pour le chantier suivant.

 

Pour qui ? Pour tous les profils curieux ou lassés du statu quo ?

Dans la salle, ça fuse : jeunes tout frais, adultes motivés par un nouveau départ, anciens du BTP lassés de la routine. L’électricité se vit en collectif, ça transpire la solidarité, la rivalité saine, l’entraide même aux heures les plus difficiles. Rien n’est figé, chacun peut trouver sa place. Les formateurs ajustent, relancent, surprennent ou dédramatisent.

 

Comment s’organisent les rythmes, les inscriptions, les aides financières ?

Surprise, tout existe. Vous rêvez du présentiel traditionnel, de l’autonomie à distance, ou d’un programme panaché ? Inscriptions chaque mois, entretien personnalisé, test d’entrée, mais aucun détour administratif interminable. Les aides sont réelles et on s’y retrouve avec ou sans expérience.

Format Rythme Tarif indicatif Financement
Présentiel 35 h/semaine 3900 € CPF, alternance, Pôle emploi
Distanciel Adapté au rythme 2900 € CPF, personnel
Mixte 25 h/semaine 3200 € CPF ou entreprise

 

La Taloche, une longueur d’avance dans l’électricité ?

L’ancrage local fait il tout ? Pas si simple, mais La Taloche s’en tire bien. Les alliances du secteur, ça rassure. L’équipe pédagogique connaît les chantiers avant même d’avoir serré une main au Pôle Emploi. Réseau costaud, insertion rapide, contenus branchés terrain. Certaines écoles ronronnent, d’autres avancent. Il suffit parfois d’une rencontre pour y croire, d’un retour d’ancien pour franchir le pas.

 

Et après, où va t’on vraiment ?

Chef de chantier, installateur, technicien en bureau d’études, et puis l’envie de tenter autre chose, parfois plus grand, parfois plus intime. Ça bouge tout le temps. Un petit CV à relifter, un entretien à préparer, une main sur l’épaule pour la première embauche. Rien n’est jamais figé, tout devient possible. Ceux qui bifurquent vers d’autres métiers du bâtiment y voient la suite logique, pas un abandon.

 

Les prix, ils font peur ou sont ils réalistes ?

3 900 euros pour se plonger dans le concret face à face, 2 900 euros pour ceux qui visent la liberté totale du distanciel, 3 200 euros pour les adeptes du mélange. Aucun supplément caché, pas de contrat en petits caractères. Un devis, des réponses, de l’accompagnement, tout compris.

 

Comment financer sa formation sans y laisser sa chemise ?

CPF au menu, Pôle emploi qui suit, aides régionales pour ceux qui ne veulent rien rater, dispositifs pour les salariés en quête de renouveau, il y a de quoi tester toutes les options, et un conseiller pour aider à mesure que les idées mûrissent. Personne ne décroche en chemin.

Type Coût moyen Financement
Présentiel 3900 € CPF, entreprise, aides
Distanciel 2900 € CPF, personnel
Mixte 3200 € CPF, OPCO, entreprise

 

Comment choisir ? Les vraies questions à (se) poser

Tout le monde ne court pas après les mêmes rêves. Qui recherche la stimulation collective du présentiel ? Qui a besoin de préserver ses soirées ? Des ambitions cachées derrière un désir de reconversion, une envie de briller dans un nouveau domaine ou simplement de retrouver la fierté du travail accompli ? Pensez organisation, rythme, envies profondes et adéquation entre projet et vie quotidienne. Osez questionner, trier, tester.

Envie d’approfondir, de prolonger la curiosité, voire de dénicher le détail qui fait décoller ? Les ressources abondent, accessibles, évolutives, sur toutes les plateformes partenaires, pas besoin d’attendre longtemps pour explorer.

Vous hésitez encore ? Certains foncent tête baissée, d’autres regardent longtemps avant d’oser se lancer. La pédagogie mobile, l’accompagnement qui suit jusque dans le doute, l’humour et la confiance, voilà ce qui fait la différence. Le chemin ne s’arrête jamais tout à fait, les découvertes non plus. Qui aurait cru qu’on pouvait autant s’amuser tout en préparant son avenir ?

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